A causes de nombreux soucis rencontrés généralement dans le domaine de la location, de nombreux propriétaires ont peur de s’investir sur ce chemin. Pourtant, une variété de solutions peut être envisagée pour se défaire de ces problèmes.
La première règle lorsque vous décidez de prendre un locataire pour votre propriété, c’est de connaitre en détails sa situation financière. Dans le cas où celle-ci serait instable, il risque d’avoir des difficultés à payer le loyer, et vous devez vous débarrasser des problèmes de ce genre.
En suite, il faut se mettre d’accord sur la répartition de toutes les charges. A part les taxes foncières dont vous devrez vous occuper, toutes les dépenses lui seront attribuées. Dans certains cas, il serait dispensé des travaux importants mais paiera tous les autres. Il faut rester ferme sur cette partie du contrat sinon vous deviendrez perdant dans votre petite affaire.
Vous pouvez également procéder au dénombrement des droits sur un bien immobilier. Vous deviendrez alors le nu-propriétaire durant une période déterminée de 5 à 20 ans. Un bailleur social qui sera le locataire, bénéficiera de l’usufruit jusqu’à la fin du contrat. De là, vous pourrez profiter de tous les revenus apportés par l’appartement et devenir exclusivement le propriétaire de ce bien immobilier. Mais en attendant, il faut mettre au clair toutes les conditions concernant l’entretien de la propriété.
Par la suite, vous pourrez envisager une succession usufruit pour vos enfants.
Une dernière solution s’offre aussi à vous. La Société Civile de Placement Immobilier (SCPI) ou l’Organisme de Placement Collectif Immobilier (OPCI) permettent de faire des investissements très avantageux dans le domaine de l’immobilier. Grâce à ce système, vous pourrez jouir de revenus complémentaires sans vous occuper de la gestion de votre affaire. Le seul petit souci est que cela nécessite certains frais comme ceux de la souscription qui peuvent s’élever dans les 10%. Cependant, vous pouvez toujours choisir l’OPCI dont les frais proposés sont moins chers que ceux de la SCPI.